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Le centre technique municipal a 20 ans
« Les anciens », entrés aux services techniques dans les années 1980, mesurent le chemin parcouru depuis le changement de lieu, des anciens locaux au centre actuel. Souvenirs, souvenirs…
Gilbert, Frédéric, Jean-Pierre et Jean-Luc commencent à travailler au centre technique municipal (CTM) dans les années 80-90. Gilbert est à la retraite depuis peu, après 41 ans à la Ville où il débute comme « chauffeur poids lourd » . « Nous étions neuf au service chauffeurs (transports en commun, véhicules lourds et légers), qui n’existe plus » . Jean-Luc, maçon à ses débuts, est maintenant directeur du CTM. Agent du service environnement, Frédéric, entré en 85, a été responsable du service voirie. Jean- Pierre, d’abord magasinier, est passé par différents postes. Les locaux se trouvaient derrière l’hôtel de ville, entre la mairie et la ruelle aux Vins, remplacée par deux rues bordées d’habitations. Le parc Balzac abritait d’autres locaux. Encore avant, dans les années 50-60, le CTM occupait une ancienne ferme, à l’emplacement du Centre culturel Jacques-Prévert. Tous les corps de métier étaient représentés : plombiers, maçons, électriciens et menuisiers, serruriers et peintres, jardiniers, agents du service propreté. Dans « les ateliers municipaux » , on rénovait, on construisait. Une ambiance familiale, la proximité aidant : sur une photo de l’époque, on voit l’atelier menuiserie installé dans l’actuelle salle des mariages. Pas encore de nouvelles technologies : le maire traversait la rue pour demander une ampoule à ses services. Convivialité et sens du collectif manifestés par la création d’une équipe de foot et de boulistes, celle-ci ayant même disputé « le championnat de France des communaux » .
Autre lieu, autre époque
Revers de la médaille des souvenirs : « Rien n’était aux normes, la sécurité de l’agent était oubliée » , explique Jean-Pierre. « Une seule douche, des locaux vétustes en parpaing brut, de la tôle ondulée amiantée, pas de chauffage ni d’isolation. L’hiver, il faisait moins 15 à l’intérieur » , poursuit Jean-Luc. « On devait même parfois bricoler les véhicules » ajoute Frédéric. Changement de lieu et d’époque, nouvelle donne : confort et sécurité au travail pour les agents ; population passée de 12 000 à 28 000 habitants ; réorganisation : certains travaux sont confiés à des entreprises privées et des domaines de compétences passés de la Ville à la communauté d’agglo. Les effectifs se sont réduits : de 4 à 1 pour les plombiers, menuisiers et électriciens. Les missions se répartissent entre l’entretien, rénovations en chantiers mixtes (entreprise/régie municipale) et création dans différents domaines : espaces verts, électricité, serrurerie, etc. « Du temps de l’ancien centre » , la centaine d’agents formait « comme une grande famille » . La famille s’est réduite mais les liens sont restés !
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Dernière modification le
31/10/2024