Depuis l’appartement familial donnant sur l’avenue Joseph Coursolle, Maelig alias Humain Cool compose tous ses textes et mélodies, un mélange de rap et de chanson française.

«Depuis tout petit j’aime la poésie, la puissance des mots. J’ai d’ailleurs commencé à écrire à 11 ans. »

Rappeur dans l’âme, il grandit entouré d’artistes : un père peintre, une mère danseuse de twirling (mélange de danse, de théâtre, de gymnastique et de maniements de bâtons), un frère muraliste dont on peut découvrir le travail au marché couvert de Villeparisis.

Il fréquente l’école Séverine et le conservatoire où il apprend la musique avec Francis Cavallaro et les percussions avec son père spirituel Lamine Sow.

Depuis l’âge de 3 ans il vit à Villeparisis, sa ville.

«Je travaille souvent à Paris et je réalise la chance que nous avons de vivre dans une grande ville de banlieue où l’on peut respirer. Une ville dans laquelle la mairie s’implique pour la culture et la jeunesse.»

Avec deux EP (format musical comportant plus de pistes que le single et moins de pistes que l'album) à son actif, il assure les premières parties de l’humoriste Djimo depuis deux ans et se rêve déjà à Bercy. À court terme il souhaite signer dans une maison de disque et monter sur scène, le plus souvent possible.

Son prochain challenge consiste à remplir la salle de 600 places du centre culturel Jacques Prévert.