La refonte du quotient familial votée par le Conseil municipal le 25 juin est une volonté politique de la Ville pour rééquilibrer au mieux et au plus juste le calcul du quotient, au bénéfice des habitants.
C’est un choix politique que nous avons fait : profiter de cette refonte des tarifs pour étendre le quotient familial aux activités culturelles », explique Stéphanie Devaux, adjointe au maire chargée des finances et de la commande publique. « Jusqu’ici, le quotient familial était appliqué aux prestations liées à la Jeunesse, telles que la restauration scolaire, les centres de loisirs, l’accueil périscolaire du matin et du soir. Dorénavant, il s’appliquera aux activités culturelles et principalement pour le Conservatoire municipal de musique et de danse. Nous avons voulu harmoniser, afin que le plus grand nombre ait accès aux activités culturelles.
La refonte du quotient familial est basée sur trois principes : l’équité, avec la prise en compte de la situation de chaque famille ; la clarté, grâce à la réduction du nombre de tranches, qui passent de douze à sept, par souci de simplification ; la solidarité, « La Ville subit la hausse des coûts, comme tous les Français, notamment en matière d’énergie et de prestations de services. Nous avons rééquilibré au plus juste. ». Nous avons fait le choix de limiter de manière très significative l’impact réel de l’inflation par une hausse mesurée de 2.4%. « Notre choix, c’est de garantir la qualité du service et de l’accueil, sans faire supporter aux habitants l’inflation. C’est un équilibre à trouver », conclut Stéphanie Devaux, insistant sur la volonté de la Ville de rendre les activités culturelles accessibles à tous et précisant que les tarifs sont dégressifs à partir de deux enfants.
Mot de l’élue, Stéphanie Devaux, adjointe au maire chargée des finances et de la commande publique
Notre choix, c’est de garantir la qualité du service et de l’accueil, sans faire supporter aux habitants l’inflation. C’est un équilibre à trouver