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Correspondances de Poilus

Retrouvez des correspondance de Poilus en cantonnement à Villeparisis qui ont été publiées dans le cadre de la commémoration et de la célébration du 104e anniversaire de l'Armistice de la Grande Guerre de 1914-1918.

Photos de troupes en cantonnement à Villeparisis
« Retour de La-Réôle le 19 octobre 1914. De passage à Villeparisis venant de Le-Pin (Seine-et-Marne) »
« Envoi de Meusnier Alfred du 69e territoire Ma chère Eugénie, Nous sommes arrivés ici à Villeparisis alors comme ça n’est pas loin de Paris si tu peux venir me voir dimanche je serait heureux de te voir surtout qu’il n’y à que 20 kilomètre de Paris. On prend le train à la Gare du Nord. Bonjour à Monsieur Moreau. Espérant que tu pourras venir »
« Pour Samie cher camarade Je sui arrivé à Ben pâre chez Mere. A bien heureuse de revoir toutes ma familles cher camarade je te quitte pour aujourd’hui et ressoie une côrdiale poignée de main d’un copain qui pense à vous touse de loin. Cammujel Charles n°76 »
« Bien chère Annie, J’ai reçu hier votre bonne carte du 17 ct m’annonçant une longue lettre pour un de cet jours et m’apportant vos bonnes amitiés et souvenirs affectueux. Merci beaucoup de vos bonnes attentions. J’ai reçu aussi hier de M. Sougey une bonne lettre. Si dimanche prochain je puis avoir une permission, je me propose d’aller le voir, c’est une affaire entendue et nous passerons une bonne journée ensemble. Demain impossible d’y aller j’étais permissionnaire dimanche dernier et nous ne pouvons m
« Excusez l’enluminure horrible de la présente carte, c’est la seule que j’ai pu trouver, ne m’accusez pas de mauvais goût, je vous en prie. Bien à vous toujours ! »
« Allons qu’est ce que cela signifie, pas de réponse. J’en attends une le plus vite possible. Voici une deuxième fois mon adresse. M. Gaston Ballureair, Garçon charcutier chez Mr Tamponnet à Villeparisis (Seine-et-Marne). »
« Cher neveu, Nous sommes arrivés dans ce patelin un peu éreintés, nous pensons y rester 4 ou 5 jours. Je t’écrirai dès que nous arriverons ailleurs. De gros baisers de ton oncle qui t’aime et pense à toi. »
« Chère madame, Je n’ais pas l’honneur de vous connaître mais je prend malgré cela, le plaisir de vous envoyer cette carte, en souvenir du passage de votre mari parmis nous. Croyez chère madame que nous en garderons un bon souvenir. Agréer chère dame, mes affectueuses amitiés et mes sincères souvenirs. Embrassez vos petits enfants pour nous. »
« Bonne santée, je t’embrasse »
« Un gros bonjour de Villeparisis dans la Seine-et-Marne. Comme je vous ais dit ne me trouvez pas le vin car il augmente chez vous. Il doit ce vendre de ça 18. J’ai recues des nouvelles d’ Alignan. Mes meilleurs amitiées ou nous cultivons les martites. Votre ami, votre Jean »
« Cher femme, Je te donne de mes nouvelles et l’état de ma santé qui est très bonne pour le moment. Je désire que ma carte vous trouve tous aussi bien quel me quitte comme nouvelles. Il n’y a rien, je ferai une lettre demain. Ton mari, Mogneron Charles. »
« Mon cher oncle et chère tante Je viens par la présente vous donner un peu de mes nouvelles. Je vous dirai qu’on est en cantonnement ici depuis 3 semaines et on s’en va 8 jours faire du terrassement pour le camps retranché de Paris et on revient au repos 8 jours et tous les dimanches on voyage comme ca en camions auto sur les routes pavées on est pas trop bien. Enfin on ne s’en fait pas on est assez bien nourri c’est déjà le meilleur. Vous me direz ce que font Pierre et Léandre. Hier on a été à une remise
« J’ai le plaisir de vous informer que je suis en excellente santé. Je suis devenu un soldat tout à fait accompli. Croyez-vous que le progrès a été vite ? Etes-vous toujours à Paris ? La famille est-elle toujours à la Palme. Ma femme vous donnera tous les détails sur mon nouveau genre de vie. En attendant de bonnes nouvelles je vous serre cordialement la main. Bien à vous. »
« et dépêchez vous. Allons qu’est cela signifie pas de réponse. J’en attends une le plus tôt possible. Voici une deuxième fois mon adresse. M. Gaston Balluereau – Garçon charcutier chez M. Tomponnet à Villeparisis »
« Chère Madame, Je n’ai pas l’honneur de vous connaître mais je prend malgré cela, le plaisir de vous envoyer cette carte en souvenir du passage de votre mari parmis nous. Croyez chère madame que nous en gardons en un bon souvenir. Agreer chère dame, mes affectueuses amitiés, et mes sincères souvenirs. Embrassez vos petits enfants pour nous. »
« Ma chère mère Je t’envoie ces quelques mots, tu apporteras ce que tu voudras. Dis-moi si on mangera au château où comme la dernière fois. Je ne serai libre que le dimanche d’après où l’autre. Je ne sait pas au juste. Bons baisers en attendant. Arnaud »
« Un petit bonjour et une bonne poignée de main. »
« Cher ami, Je viens de recevoir une carte de ton fils quant à moi je vais toujours très bien et je vous souhaite de même pour toi et toute ta famille. Enfin les affaires ne vont pas vite enfin cela viendra. J’ai reçu des nouvelles d’Odilon. Je te quitte. Une bonne poignée de main. »
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Musée d'histoire locale Francis Ecoutin de nous avoir fourni les cartes postales et à Monsieur Gagnepain pour son aide.

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Dernière modification le
11/11/2022